fiction | l'encre noire (titre provisoire)

Donc j'ai commencé une nouvelle fiction, dont le titre (provisoire) est l'encre noire. Ce nom n'a apriori aucun rapport avec l'histoire, mais peu être qu'il en aura un a un moment. pour ceux qui on lu une autre de mes fiction : the kill, ils trouverons sans doutes que le genre est ressemblant, ce qui est vrai. Cette histoire est racontée a la 1ère personne et au présent, temps que je trouve bien mieux part rapport au passé. Cette histoire est triste, je précise, donc si vous chercher une histoire avec une happy end, c'est pas la peine, regardez un autre sujet.
Voila donc le premier extrait de cette fiction. Bonne lecture !




Il fait enfin beau, le soleil a remplacé les nuages, ce qui me réchauffe un peu. On a beau n’être qu’en octobre, il fait a peine 10 degrés. Emy marche a mes côtés en me racontant pour la quatrième fois sa journée, les problèmes qu’elle a eu avec les profs, les mots qu’elle s’est ramassé et les délire qu’elle a eu avec ses copines. Cela ne me dérange pas de l’écouter une nouvelle fois me raconter comment elle a répondu a la señora Letante. Je me met à la détailler : elle a beau avoir un an de moins que moi, elle fait ma taille et son visage me ressemble tellement que certains pensent qu’on est jumelles. Elle a les cheveux chatins-roux coupés en dégradé jusque sur ses épaules, le teint aussi blanc que moi, pas une seule tache de rousseur, des lèvres magnifiques, et des yeux verts contrastant avec la couleur de ses cheveux. Remarquant que je la détaillait, Emy me demande :
« Qu’es que j’ai ?
- Rien.
- ah alors pourquoi tu ....
- tu es belle Emy.
Elle souri, ce qui dévoile ses dents parfaitement alignées et blanches.
- toi aussi Karin. »
Je souri a mon tour bien que je n’apprécie pas qu’on m’appelle par mon prénom. Emy a eu de la chance, son prénom est magnifique, moi, mes parents on choisi de m’appeler Karin, un nom suédois tellement basique. Kristen déjà c’était mieux. Mais je n’ai pas le choix.
Nous quittons le grand boulevard et nous nous engageons dans une petite rue parallèle. Les immeubles sont haut et cachent en grande partie le soleil. Emy n’aime pas cette rue, mais c’est bien plus rapide que de passer par la 47^ème . Nous débouchons sur une grande place a demi masquée part une immense statue de marbre. Contrairement a tous les vendredi soir, la place est déserte, alors que généralement il y a toujours des touristes ou des jeunes assis sur les bancs. Soudain, je suis prise d’une profonde angoisse. Comme si mon corps essayait de me prévenir qu’il ne faut pas passer par cette place, pourtant je n’ai pas d’autres choix. La douleur me donne presque envie de vomir mais voyant qu’Emy avance paisiblement devant moi, j’essais d’oublier la douleur de mon ventre. Emy s’arrete pour m’attendre, et sans doute vois-t-elle que je risque fortement de vomir dans les prochaines seconde me demande :
« Sa va Ka’ ?
Voilà déjà une meilleur façon de m’appeler.
- je ... oui oui ne t’en fais pas . »
C’est vrai car la douleur au ventre commence a se dissiper. Nous nous remettons en route et arrivons au niveau de la statue. La douleur dans mon ventre redouble d’intensité. Je ne comprend pas pourquoi j’aurais peur de cette statue insignifiante - bien que haute de plus de 10 mètres et large de 20 mètres - alors que je passe chaque jours devant.



avis ?

Sincèrement je la trouve tres bien!
j'ai hate d'avoir la suite!

merci :3 et la voila :

. Et puis je vois ce qu’il y a derrière. A quelques mètres de moi.
Une femme terrifiée, les mains en l’air, pleurant, et de dos, un homme avec deux pistolets. J’essais de partir en courant mais mes jambes ne me répondent plus. Il n’y a plus que l’horrible douleur dans mon ventre. Emy aussi l’a vu, et elle aussi ne bouge plus. Mais c’est trop tard, l’homme a entendu nos pas et tire déjà sur la femme devant lui. Elle pousse un hurlement de douleur et je la vois s’effondrer sur le sol qui se teint de rouge.
A ce moment seulement je parviens a mettre mes jambes en mouvement et, prenant Emy part la main, je part en courant.
Mais mes efforts sont vains. L’homme tire une balle qui m’atteins au bras.
Je porte ma main a ma blessure déjà ensanglantée. Je réprime un haut-le-cœur. Je hurle a Emy de courir et de se sauver mais elle reste la et tente de me relever.

Une seconde balle. Ma sœur se met devant moi et la reçoit dans le dos.

Un hurlement.

Une seconde balle.

Un second hurlement.

Je tiens Emy dans mes bras. je l’entends hurler.

Je sens sur mes doigts le liquide chaud qui sort de son dos.

Une troisième balle.

Je sais qu’elle ne résistera pas.

Le sol est couvert de notre sang.

Je me met entre elle et le tueur.

Une quatrième balle.

Dans mon avant bras.

J’entend un hurlement. Mon hurlement.
Je doute que je puisse survivre .

J’hurle le prénom d’Emy, toujours dans mes bras. Elle ne me répond plus . Elle ne cris plus. Une autre balle viens se ficher entre ses omoplates. Elle ne bronche plus . il n’y a qu’un sifflement strident qui sort de sa bouche.
Soudain, je ne suis plus seule. La police arrive.
Je pose Emy sur le sol et la regarde. Elle a les yeux ouvert. Mais elle ne respire plus . elle ne respire plus. Elle ne respire plus. Cette réalité s’abat sur moi. Emy est morte.
Emy est morte pour me sauver.
Elle s’est mise devant moi pour que je vive.
On me la retire des bras et on m’emmène dans une ambulance.

Woah j'adore . Trés poétique et trés rapide xD
La suite ?? :)

Une ambulance.
Une sirène.



Un hôpital.


Des seringues. Des perfusion.
La douleur.



Encore la douleur.



Un cri aigu. Mon cri.



Des visages. Inconnu.





Je veux mourir. J’ai mal.
J’ai peur.

Je me souviens. Je veux mourir.





Je suis dans la rue. Heureuse avec Emy. Nous discutons encore et encore de nos journée. Elle rie. Son rire joyeux me rend heureuse. Un oiseau passe près de nous. Il se pose. Nous le regardons sautiller gaiment sur le sol pavé. Soudain, l’oiseau se transforme. Il grandit. Prends la taille d’un homme. Il a les trais sévère. Et deux pistolets. Il charge son pistolet et tire. Une balle. Deux balles. J’hurle. Trois balles. Je vois Emy tomber au sol et il se couvre de sang. J’hurle.
Et me réveille.
Je suis dans un hôpital. Il y a 5 personnes autour de moi. Je n’en reconnais aucune. Ils ne semble pas m’avoir entendu crier, pourtant je suis sur d’avoir crier en vrai. C’est la même sensation qui me prend quand je parle dans mon sommeil. Ils se retournent enfin vers moi. J’essais de bouger mon bras pour attraper la main de celle qui semble être ma mère. Je n’en suis pas sure, mais son visage me rappelle celle-ci. Lorsque je bouge mon bras je suis prise d’une violente douleur. Je regarde mon bras. A priori il n’y a rien, mis a part le fil qui court sur celui ci et qui remonte jusqu'à mon épaule. Celle ci a un bandage qui laisse encore voir une tache ensanglantée. Je réprime un haut-le-cœur. A cause du sang sur mon bras, mais surtout à cause des souvenirs qui me reviennent à présent. Les cris d’Emy. Notre sang sur le sol. Les balles. Le regard vide d’Emy. Cette réalité s’abat sur moi. Je me répète dans ma tête cette horrible et insoutenable réalité. Emy est morte. Emy est morte. Emy est morte. EMY EST MORTE. Elle a rejoint notre père, notre grand-père, notre grand-mère, Neko, notre chat. Elle les a tous rejoint, et m’a abandonnée. Non, Emy ne m’a pas abandonnée. Emy m’a sauvée. Emy s’est sacrifiée. Elle s’est sacrifiée pour que je vive. Emy est la personne la plus généreuse au monde. C’est sans doutes pour sa qu’elle faisait partie des filles les plus populaires et aimées. Alors que moi je ne suis même pas capable de la protéger.
A présent, les médecins et infirmières se penchent vers moi et semblent me parler. Mais je n’entend rien. Parce que je sens que mon corps m’abandonne. Je distingue un médecin qui tient dans sa main une seringue qu’il a du vider dans mon bras. Je n’essais même pas de résister au sommeil.

Shuuperbe :DD

merci beaucoup pour les commentaires . Oui il y a une suite mais avec les controle et tout cette fiction est un peu passée a la trape :o

Je la posterais un peu plus tard ~