Vos expressions écrites

voici mon sujet:
racontez votre première arrivée dans un lieu qui vous etonne
(ville,galerie,marchande,usine,hopital, etc)

Heu... C'est bien lareineaya, mais où est le texte ?

dsl mais je l'ai perdu (mon texte) mais je ne vais plus poster de sujet sans texte(dsl) :ecrir:

Rédaction français :La plus belle peur de ma vie.


Voilà ma plus belle peur.
C’était une samedi de décembre, vers 16heure 30, que tout a commencé. J’assistais alors a un enterrement, celui de ma grand tante. Nous n’étions qu’une dizaine à peine. Il pleuvait, non pas une pluie annonçant la fin du monde mais simplement une bruine triste. Le cimetière était silencieux, la voix du prêtre raisonnait dans l’espace vide. Toutes ces choses donnaient une impression lugubre à ce lieux. A un moment, un bruit hors du commun attira mon attention : A mi chemin entre le cri d’un oiseaux, le chant d’une femme et le craquement de la terre. J’ai quitté le groupe pour savoir d’où venait cet étrange son, de toute façon le prêtre avait presque fini de parler. Personne ne m’a vu partir. Je serpentais entre les rangées de tombes, lisant sur les pierres tombales le nom de chaque personne étant sensée être en dessous. Maintenant le bruit avait cessé, mais j’avançais comme hypnotisée par les tombes. Quand je me suis rendu compte que j’étais perdue, la nuit commençait à tomber. C’était ce moment précis que le bruit avait choisi pour se manifester a nouveau. Dans un sursaut d’angoisse, j’ai hurlé de tout mon cœur, je senti que je ne pouvais crier plus fort. Lorsque j’eu le souffle coupé, je me rendis vite compte que le calme régnait sur le cimetière. Un calme qui donnait froid dans le dos. Soudainement, le vent se leva, emportant les dernières feuilles qui s’accrochaient péniblement aux quelques arbres peuplant le cimetière. Le vent donnait l’impression d’un cri. Un cri strident qui me glaça le sang. Un cri qui s’est soudainement éteint, laissant de nouveau place au silence et au calme lugubre du cimetière.Après, j’ai couru, couru le plus vite que j’ai pu, jusqu'à ce que je vis une ombre blanche s’approchant de moi très rapidement, elle m’éblouissait, j’ai de nouveau hurlé. L’ombre semblait calme et semblait tendre un bras vers moi, j’ai reculé. Puis, j’ai entendu ma mère m’hurler quelque chose que je n’ai pas compris. J’ai cru que le fantôme était ma propre mère, mais qu’elle était morte. Puis j’ai fermé les yeux, secoué la tête pour chasser cette idée, et j’ai regarder devant moi. A la place du fantôme il y avait ma mère, mon père, mes deux frères, tous bien en chaire et en os, bien vivants. Seul demeurais une tache blanche dans mon chant de vision, dû à la lumière de la lampe. Depuis ce jour, je n’ai plus jamais mis les pieds dans un cimetière.



désolé pour le formatage du texte, => tiré de Word donc déformé :/


Avis ?

Moi aussi ^^Les rédacs que nous donnent notre profs sont nulles genre "Décrivez la chambre de vos rêves" Mdrr ça la regarde pas T.T Bref, J'essayerai de poster un truc d'ici là =P

Bon bah je remets mes deux pauvres feuilles sur Paris hein xD

C'est pas mal, le sujet est un peu zarb mais de nos jours ... Hum Hum ! *J'ai rien contre les profs de français à part la mienne, une femme gâteuse normal elle est vielle T.T *TA YEULE SHU''**

Je sais plus pourquoi il nous a donné ce sujet... C'était pour... Pour... Honte à moi, je ne m'en souviens pas -_-"... Je crois que c'était juste un exercice d'expression écrite pour le fun.

Pour le fun... Plutôt pour faire travailler de jeunes et innocents élèves sans défense qui préféreraient aller en ville. c'est beau de rêver / Un Petit Coup de SBAF / XD`` Les Profs ne donneront JAMAIS du travail pour s'amuser à moins qu'il soient vraiment sadiques. Hmmh.

Je vais vous annoncer que je vais vous mettre ma rédaction en français qui raconte l'histoire de L'Escalade, une guerre d'une nuit qui a été mémorable pour les genevois. Les Genevois, c'est les habitants de Genève, ma ville ^^' XD Petite précision : Tous les faits cités ici son réels. Le personnage d'Isaac Mercier a bel et bien existé, mais rien ne prouve que Charles, Pierre et Jacques ont existés. Bon, allons-y :

Je m'appelle Charles Mercier. En automne 1602, j'ai eu 13 ans. Le jour de mon anniversaire, un certain Monsieur de Rochette arriva. Il vint nous annoncer que Monsieur Charles-Emmanuel, duc de Savoie, n'a que de bonnes intentions. Caché derrière mon père Isaac et mes frères, j'écoute de Rochette. Mon père, ma mère et mes frères savent bien que le Duc prépare quelque chose. Moi je n'en sais rien, mais je suis l'opinion de mes parents.
Environ deux mois plus tard, le 11 décembre (j'appris plus tard qu'en Savoie c'était le 21), alors que j'aidais Dame Royaume et Dame Piaget à éplucher quelques porets (poireaux en patois genevois), ou plutôt des poireaux, mon grand frère Jacques arriva en trombe. Je levai les yeux de la table en bois. Voyant son regard plein d'étincelles, je me lève en courant et fonce vers lui. En claquant la porte, j'entends Dame Royaume dire à sa commère :

"La jeunesse, ces jours !"

Jacques et moi courons à travers Genève. Je le suis sans savoir où on va. Mais je lui fais confiance. Mes frères Jacques et Pierre ont tous les deux 20 ans, mais ils ont le comportement d'enfants de mon âge. Nous sommes très complices, tous les trois. Là, je vois enfin où nous allons. Pierre regardait au loin, le pied posé sur le mur. Je me baissai. Le mur devait faire au moins 7 mètres ! Nous n'étions jamais venus ici. Nos parents ne nous laissent pas. Enfin, je demandai :

- Que faisons-nous là ?
- La joie de vivre ! Enfin, on peut voir autre chose que les maisons des vieilles femmes ! Souviens-toi de papa qui disait... commença Pierre
- Tin bon mon ptiot ! imita Jacques avec un accent terriblement réaliste.

J'éclatai de rire. Nous restâmes là encore longtemps. Très longtemps. Le clocher de l'église afficha 23h30. L'heure à laquelle les sentinelles se postent... Les sentinelles ! On va croiser les sentinelles ! Et notre père, par la même occasion.

- On va passer par la fenêtre, dit Jacques comme s'il était devin

C'est ce que nous fîmes. Ma mère nous gronda, mais nous pûmes nous coucher. Je n'arrive pas à dormir. Je sens le temps passer rapidement. Trop rapidement. Je sors de la maison par la fenêtre. J'évite les sentinelles et arrive à la porte Neuve, la porte de la ville. Soudain, j'entends du bruit. Je m'écrase contre le mur, à l'abri de la lueur des torches. J'entends des voix. Je reconnais de suite François Bousezel, un ami de mon père. Et là j'écarquille les yeux. Une horde de soldats d'avance...
François Bousezel sort de sa cachette, ayant entendu du bruit, et dit :

- Holà, qui vive ?!

Et il s'effondre, mortellement blessé. Je cours pieds nus vers la Corraterie, à la demeure de Dame Piaget. Je tambourine à ses carreaux pendant 2 minutes qui me parurent bien longues. Quand enfin elle ouvrit, je criai :

- Dame Piaget ! Dame Piaget ! On est attaqué !

Et de refermer sa fenêtre. Je soupire et cherche un endroit où me cacher... Dame Royaume ! Je cours jusqu'à chez elle. Je monte en vitesse ses escaliers de pierre. Je frappe, elle m'ouvre (à ses risques et périls). Je tente d'entrer calmement, mais elle me pousse à l'intérieur à coups de tapes dans le dos.

- Viens voir mon garçon. J'ai des restes de soupe, celle que Dame Piaget et toi avez préparée.
- Et à quoi va-t-elle servir ? À nourrir les sold..
- Prenez ça ! Savoyards de malheur !

Je n'avais pas fini ma phrase qu'elle jeta son pot en étain sur la tête d'un soldat. Assomé, il tombe et un Genevois vient lui porter le coup de grâce. Des Savoyards tirent des flèches à notre fenêtre. Dame Royaume me dit qu'il était préférable de "filer avant d'avoir de gros ennuis".
Le clocher sonne les trois heures. En chemin, je croise Guillaume, un ami à moi.

- Je les ai vu arriver, moi ! Ils sont venus armés, teints de noir et avec des échelles.

Je passe mon chemin, sans faire attention. Guillaume avait cependant raison. Dans les rues, les Genevois se battent toujours en tenue de nuit. Je m'arrête pour souffler. À côté de moi, un homme. Il porte un pétard, face à la porte Neuve. Me voilà revenu au départ. Le pétardier me regarde.

- Tu ferais mieux de partir, gamin. Les 2000 hommes de M. Le Duc vont assaillir ta ville.
- N'y tiens pas trop !

Mon père se tenait debout en haut de la herse. Muni d'une hâche, il coupe une corde et la herse tombe, faisant d'une pierre deux coups en tranchant un Savoyard.

- Hourra ! Isaac a fait tomber la herse ! dit un Genevois

Mon père a certainement sauvé Genève. Je vais au-dehors, je me demande comment les Savoyards ont-ils fait pour venir. Je me penche vers le mur et des centaines de soldats escaladent le mur au moyen d'échelles. Je recule pour ne pas gêner les Genevois. Soudain, vers 4 heures, une détonation retentit. Les échelles se brisent, les Savoyards s'écrasent 7 mètres plus bas. Le coup vient du Bastion de l'Oye. Je souris. Visiblement, nous avons la situation bien en mains. Un soldat me pousse et saute dans le vide... cet idiot meurt sous le choc. Mon père attrape quelqu'un et dit :

- Brunaulieu, tes efforts pour faire sauter la porte Neuve ne t'ont apporté que de la malchance.

Et il le relâche avant de le tuer. D'autres meurent tués de la même manière...
Le lendemain matin, j'entends mon père dire :

- Ah ! Ces saletés ont conçu des échelles ! C'est idiot de s'être avoir !

Plus tard dans la matinée, un homme d'église vint prier les 17 morts de ce qu'on appela l'Escalade. Puis, quelques jours plus tard, des du lointain pays de Berne vinrent, et ils nous aidèrent à réparer ce qui avait été démoli. Maintenant on peut dire que, même attaqués lâchement, nous pouvons vaincre !

La prof a été bluffée par ma rédac XD Elle a dit : En 40 ans de métier je n'ai jamais vu ça.
J'étais là: Ah ouais, cool pour vous XD Mais si je vous donne une fic de momo-chan, LÀ vous allez tomber.
Me réjouis de lire une de tes rédacs. J'adore les rédacs !!