Chapitre1
Un homme sur le seuil
C’était un jour de mars, pluvieux et des nuages noirs menaçaient de faire tomber sur nous un bel orage. Je vis avec mon frère Tim qui est détective privé depuis un moi. Je me demande souvent comment il a fait pour avoir un diplôme. J’ai 14 ans et mes parents vivaient en Caroline du sud, bien loin de moi, moi qui habite à des kilomètres d’eux... Pourquoi est-ce que j’ai décidé de ne pas vivre avec eux? La réponse n'est pas difficile a trouver. J'étais petite a l’ époque, je ne comprenait pas pour quoi on quittait notre belle maison à la campagne, pour quoi on quittait mon frère qui, à l’époque, était brillant. Au dernier moment de monter dans l'avion une subite nausée est survenue dans mon estomac, un remords sans doute. J’ai fait demi-tour et pour tout vous dire je ne sais toujours pas pourquoi. Sur la porte de l’appartement est écrit en grosses lettres « DETECIVE TIM ET ASISTANTE MAELIG » et en très petit , en bas « chez les bredins ».
Nous n’avions pas eu de client depuis …Je ne sais même plus compter les mois sur mes doigts.. A ce moment la, on frappa à la porte. Mon cœur ne fit qu’un tour et soudain ma joie retomba en pensant que c’était madame Lapic qui venait demandé si nous n’avions pas vu son chat. Comme d'habitude Tim était allongé les pieds sur sont bureau remplit de désordre ! J’alla ouvrir.
Un homme se tenait devant le seuil en triturant sa petite barbe et en regardant au dessus de son épaule à chaque minute qui passait. Il était bien nourri, ses bourrelets débordaient sur le col de sa chemise, il sentait l’abus de parfum et portait un costume cravate trop petit pour lui, il avait des cheveux blanc, bien qu’il n’en n’ai plus sur le sommet du crâne.
"Tim un client
- Quoi?
Je lui tendis une chaise mais, déjà, il arpentait la pièce et l’examinait du coin de l’œil. Ses pas étaient lourds. Je prias pour que madame Charter ne vienne pas frapper à ma porte. Soudain je me sentis mal à l’aise. L’œil…Il était au singulier. L’autre était masqué d’un bandeau noir que je n’avais pas remarqué quand il était entré dans la pièce. Je sentit une odeur de brûlé me chatouillé les narines. J’avais l’aisé le poulet sur le feu et malheur la température était au maximum.. Je n’eu pas besoin de lui dire de faire comme chez lui car déjà il fermait les tentures se qui donna à la pièce un aspect sombre, d’habitude réservé au mauvaises nouvelles. Il commença à regarder Thomas puis moi et enfin il pris la parole.
« Puis-je savoir qui est le patron ? »
Sa voix sonnait étrangement faut. Elle était grave et en même temps aigue.
« Je suppose que c’est vous monsieur. Je vous prie de faire sortir l’enfant. »
Cette réplique me glaça le sang. Moi une enfant ? C’était moi qui dirigeais tout ici. Factures, repas, dépenses et c’était moi aussi qui réglait les embrouilles. Savoir qu’on me traitait d’enfant me mettait or de moi. Je répliquais d’un ton sec
« Je resterai ici car c’est moi qui dirige tout. Je suppose que vous n’avez pas pris rendez-vous. Estimez-vous heureux que l’on vous reçoive. Thom ouvre les tentures ! »
Il du mal le prendre car il me fusilla du regard. S’il avait eu un pistolet dans la main il m’aurait tiré dessus sans hésitation. Cette réflexion me glaça le sang. Je m’aperçu alors de la cruauté de cet individu. Dire que j’avais été emballé par l’idée que se soit un client derrière la porte.
« Sacher jeune fille que l’affaire que je viens confier à votre frère n’est pas un jeu d’enfant. »
Bien sur Thom choisis un moment formidable pour placer sa réflexion idiote.
« Ma très chère sœur, mes affaires ne te concernent en aucun cas mais puisque tu insistes temps... Je vous prie monsieur de faire comme si mon insolente sœur n’était pas la. Aussi, elle n’est pas mature pour son age, je vous prie de l’en excusé. »
Quand Thom disait des choses littéraire cela lui donnait un air stupide !
Pour les mavais lecteurs...
C'est l'histoire d'une jeune fille qui doit résolver des énigmes étranges.
Son frère est sensé être le détective mais c'est elle qui résolve toujours tout.